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La Métropole Rouen Normandie, dans le cadre de sa politique de transition social-écologique et de sa charte forestière ambitieuse, à l’invitation des associations de professionnels du territoire, vient de signer un Pacte Bois-Biosourcé normand, pour contribuer activement au développement de l’utilisation du bois et des biosourcés dans la construction et la rénovation sur son territoire. 

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Charlotte Goujon, en charge de la transition écologique, santé, sécurité sanitaire et industrielle et Hugo Langlois, Conseiller métropolitain délégué aux enjeux liés à la Seine, les forêts et la biodiversité : « Le secteur du bâtiment représente un véritable défi dans la transition écologique car son impact environnemental est très important. C’est notre rôle, en tant que collectivités, de montrer l’exemple et d’impulser un cercle vertueux. Ce pacte nous permet de se fixer des objectifs clairs et ambitieux dans nos commandes publiques, tout en mettant nos forces à disposition pour soutenir et développer l’écoconstruction dans la métropole. » 
 

La Métropole Rouen Normandie organise une nouvelle édition des Rendez-vous à l’atelier, les artistes ouvrent leurs portes qui se déroulera les 23 et 24 novembre 2024. Destinée aux artistes amateurs et professionnels, cette manifestation ouverte à tous et gratuite témoigne du dynamisme et de la richesse de la création sur le territoire. Moment privilégié de découverte et de rencontre, elle est l’occasion d’un moment de partage entre artistes et visiteurs. 

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie et Laurence Renou, Vice-Présidente en charge de la culture : « Cette année, les « Rendez-vous à l’atelier » prennent de l’ampleur ! Près de 200 artistes, répartis sur 31 communes participeront à l’édition 2024 (ils étaient une centaine en 2022, répartis sur 26 communes). C’est une belle illustration de la réussite et de l’ancrage de cet événement, devenu un temps fort pour les artistes de notre métropole. Nous souhaitons à tous les habitants, de belles rencontres et un riche week-end de découverte ! »

Rouen est parmi les villes de France offrant le plus de lieux festifs par habitant : bars, salles de concerts, boîtes de nuit… Ce palmarès oblige à regarder en face des problématiques bien connues au niveau local et national. En effet, en 2022, le ministère de l’intérieur comptabilisait 2077 plaintes pour piqûres sauvages en milieux festifs et le centre d’addictovigilance de Paris APHP a recensé 2 000 plaintes ou appels pour agressions sous soumission chimique. Les comportements à risques sont de plus en plus nombreux : en 2023, près de 10% des adultes en France avaient testé la cocaïne, contre 5,6% en 2017, et 80% des jeunes de 17 ans en 2022 déclaraient avoir consommé de l’alcool pendant l’année. Ces excès ont des conséquences : par exemple, chaque semaine, 11 personnes âgées de 18 à 24 ans meurent dans un accident de la route. Par ailleurs, 60% des femmes déclarent voir été victimes de harcèlement ou d’agression sexuelle dans un établissement festif (enquête de l’association CONSENTIS en 2018). Face à ces chiffres alarmants, la Métropole Rouen Normandie a déployé un dispositif de prévention en milieux festifs à destination notamment des jeunes. Nommé le « Kit Kool », ce meuble, équipé de brochures informationnelles et d’objets de prévention, permet de prévenir et lutter contre les violences sexistes et sexuelles la consommation de substances (alcool, psychotropes), les pratiques sexuelles à risque et de réduire les dangers associés. Ce mobilier pédagogique sera déployé lors d’événements au 106 et au Zénith, ainsi que dans d’autres milieux festifs selon les besoins identifiés.  

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Myriam Mulot, Vice-Présidente en charge de la lutte contre les discriminations, de l’égalité femmes/hommes, du handicap, Charlotte Goujon, Vice-Présidente en charge de la transition écologique, la santé, la sécurité sanitaire et industrielle et Laurence Renou, Vice-Présidente en charge de la Culture : « Les lieux de fêtes ont pour but de se divertir, de sociabiliser, de se retrouver entre amis. Mais dans de trop nombreux cas, la fête peut se transformer en réel cauchemar : violences sexistes et sexuelles, alcool, drogues, comportements à risques… Nous souhaitons que les milieux festifs restent une fête pour toutes et tous, c’est pourquoi nous amorçons une démarche de sensibilisation et de responsabilisation, notamment à destination des jeunes. Nous invitons les nombreux bars et boîtes de nuit à rejoindre notre démarche. Pour que rien ne vienne gâcher la fête, et que chacun et chacune puisse s’amuser dans le respect des autres et de soi-même. »
 

Chaque année, des centaines de milliers de Françaises et de Français sont diagnostiqués d'un cancer. De plus en plus jeunes, de façon de plus en plus chronique. Cela concerne aussi les agents des services publics, qui sont plusieurs milliers à travailler pour la Ville de Rouen et la Métropole Rouen Normandie. Dans le contexte d'Octobre Rose et de Movember (prévention et lutte contre les cancers féminins et masculins), la Métropole Rouen Normandie et la Ville de Rouen présentent un nouveau plan d'action pour lutter contre l’isolement des agents atteints d’un cancer. 

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie : « Avoir un cancer, j’en sais quelque chose, cela fait peur. De nombreux malades se retrouvent isolés. Aux souffrances d'ordre médical s'ajoutent alors des difficultés d'ordre psychologique, affectif, social. Plusieurs formes de cancers s’attrapent de plus en plus jeune, de façon chronique. C’est encore un sujet tabou. Nous devons en parler et agir. La Ville de Rouen et la Métropole Rouen Normandie souhaitent montrer l'exemple. » 
 

Les élus de la Métropole Rouen Normandie se réunissent ce mardi 12 novembre pour le Conseil Métropolitain, notamment marqué par le débat d’orientations budgétaires en vue du budget primitif de 2025 qui sera présenté au prochain Conseil. Face aux contraintes financières inédites imposées aux collectivités territoriales par le gouvernement Barnier, les élus de la Métropole expriment leur colère et leur incompréhension, tout en assurant, en responsabilité, qu’ils mettront tout en œuvre pour assurer une gestion pérenne et sauvegardée de la collectivité. De nombreuses mesures sont quant à elles à l’ordre du jour de ce Conseil, notamment des investissements à destination des pôles d’enseignement supérieur pour assurer des conditions d’accueil des étudiants toujours plus performantes, la création d’un réseau de mini-stations météorologiques afin de prévenir les risques environnementaux liés au climat, ou encore l’adoption d’une charte de bonnes pratiques pour les professionnels concernés par le Fonds Air Bois de la Métropole. Enfin, la Métropole renouvelle son soutien aux communes via les financements FAA et FACIL, pour un total de 400 000€ sur divers projets d’aménagement public.

Pour Nicolas MAYER-ROSSIGNOL, Président de la Métropole Rouen Normandie : « Ce Conseil Métropolitain est particulier, car c’est aujourd’hui que se tient le débat d’orientations budgétaires visant à constituer le budget 2025 de la Métropole, au plus près des besoins du territoire. Mais contrairement aux années précédentes, aujourd’hui, ce débat se tient dans une situation hors du commun : le gouvernement Barnier a mis en place, via le Projet de Lois de Finances, une pénalisation sans précédent des collectivités territoriales. Au mépris de leurs équilibres budgétaires, de la haute qualité générale de leur gestion et des politiques publiques qu’elles portent.

Je pose une question, lourde de conséquences : lorsqu’un gouvernement propose de telles mesures, quelle valeur porte-t-il au service public et à toutes celles et ceux dont la qualité de vie en dépend ?

Outre la Région Normandie et le Département de la Seine-Maritime, la Métropole Rouen Normandie est le deuxième investisseur public régional. Les impacts sont excessivement forts, injustes, l’approche est déloyale et stigmatisante, c’est du jamais vu à cette échelle. En cumulant la perte de recettes et les dépenses, la perte projetée pour la Métropole Rouen Normandie pourrait s’élever à 18,2 millions d’euros en fonctionnement. Un drame, lorsque l’on sait que notre collectivité possède des compétences obligatoires essentielles pour le territoire et ses habitants : développement économique, gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations, collecte et traitement des déchets, assainissement, eau… Ainsi que des compétences transférées dont il faut assurer l’onéreuse mais si nécessaire gestion, par exemple les transports en commun.

C’est tout l’équilibre de l’écosystème des collectivités territoriales qui est touché, de la Région à la Métropole en passant par le département, les communes… Autant de composantes essentielles à la décentralisation des services publics, mais dont pour autant l’avenir vient d’être décidé sans concertation. C’est un coup bas, un de plus dans une construction budgétaire marquée par l’impéritie au niveau national, l’impréparation et le rafistolage.

L’orientation du Gouvernement est un contresens extrêmement lourd, dont les conséquences seront assurément néfastes pour nos concitoyens. Nous mettrons tout en œuvre pour les limiter. Avec, pour notre part, transparence, précaution, et responsabilité. »

La Métropole Rouen Normandie est extrêmement attentive à la qualité de l’eau distribuée à partir des captages dont elle a la charge sur son territoire. A cette fin, elle a adopté à l’unanimité le 17 juin 2024 une stratégie d’intervention ambitieuse. Cette politique est construite dans un dialogue permanent avec l’Etat. La qualité de l’eau fait l’objet d’un contrôle régulier précis par les services de l’Etat et l’Agence Régionale de Santé conformément à sa mission. C’est dans ce cadre qu’ont été détectés de façon épisodique des résidus de pesticides sur les captages du Haut-Cailly et des sources du Robec, ne remettant aucunement en cause la potabilité de l’eau. La présence de ces molécules est notamment apparue lors d’épisodes pluvieux. Elle a ainsi conduit à de légers dépassements de la limite de qualité générale fixée à 0,1 µg/litre pour un pesticide ou métabolite pertinent sans toutefois dépasser la limite de 0.5 µg/litre fixée par la règlementation pour le total simultané des pesticides quantifiés. La Métropole met en place un plan d’action complet sur chaque captage afin de garantir une eau potable toujours plus qualitative.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, et Jean-Pierre Breugnot, Vice-Président en charge de l’eau et de l’assainissement : « L’eau courante est l’une des ressources les plus régulièrement contrôlées, avec une précision extrême. Nous faisons acte de transparence en partageant cette information, même si elle n’a pas de conséquences en matière de santé publique. Ces limites de qualité, très exigeantes, ont été approchées et parfois légèrement dépassées sur certains pesticides en raison du ruissellement lors des fortes pluies. Nous mettons tout en œuvre, en amont sur la protection des zones de captage, et en aval par des mesures de traitement de l’eau, pour proposer une eau saine et sûre à nos habitants. » 
 

La Métropole Rouen Normandie est engagée dans une politique de solidarité et d’insertion. Dans le cadre des actions menées, la Métropole a fait le choix de contribuer concrètement aux enjeux de sécurité et de prévention de la délinquance, aux côtés des maires et des communes. Ainsi, en lien avec le juge d’application des peines, l’établissement public met en place son habilitation pour l’accueil de personnes exécutant une mesure d’intérêt général. Le TIG (Travail d’Intérêt Général) est une peine alternative à l’incarcération qui permet de sanctionner un condamné en lui faisant effectuer une activité au profit de la société, dans une démarche réparatrice, tout en lui laissant la possibilité d’assumer ses responsabilités familiales, sociales et matérielles. Neuf types de postes seront ouverts pour accueillir des Travaux d’Intérêt Général non rémunérés.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Nadia Mezrar, Vice-Présidente en charge de la Solidarité, de l’Emploi et de la Jeunesse et Nicolas Rouly, Vice-Président en charge des Finances, des Ressources et de l'Administration générale : « Les Travaux d’Intérêt Général ont fait leurs preuves, avec un taux de récidive bien plus bas qu’en cas d’incarcération. Les entreprises privées accueillant des TIG restent rares. Il est de la responsabilité des collectivités de s’inscrire dans une démarche d’accueil pour la réinsertion, afin de promouvoir une société plus juste, plus sûre, et toujours plus solidaire. Nous encourageons tous les services qui le peuvent à accueillir des TIG et à participer à faire de la justice un vecteur de réhabilitation, et non plus uniquement de répression. »
 

Du 18 octobre au 17 novembre, l’édition 2024 de la Foire Saint-Romain aura lieu sur l’esplanade Saint-Gervais à Rouen. Afin de faciliter l’accès à cet événement incontournable et de permettre à chacun de profiter de la fête et des attractions, la Métropole Rouen Normandie et Réseau Astuce, en concertation avec les forains, mettent en place un dispositif renforcé sur les lignes Métro, TEOR, F9 et 530.

Nouveauté cette année : pour encourager les déplacements en transports en commun, la Métropole Rouen Normandie met en place la gratuité sur tout le réseau Astuce les mercredis, week-ends et jours fériés pendant toute la durée de la Foire Saint-Romain. 

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie et Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement : « La Foire Saint-Romain est un rendez-vous traditionnel immanquable pour les habitants du territoire métropolitain. Cette année, pour les encourager à emprunter les transports en commun pour s’y rendre, la Métropole Rouen Normandie a décidé, en plus de la gratuité du samedi, d’ajouter les mercredis, dimanches et jours fériés sur toute la durée de cet événement populaire et festif ! ». 
 

Depuis 2021, la Métropole Rouen Normandie propose un appel à projets « Métropole Nourricière », visant à soutenir des projets d’espaces nourriciers collectifs (jardins partagés, vergers participatifs…), dans le cadre de son Projet Alimentaire Territorial (PAT). Pour l’édition 2024 de « Métropole Nourricière », 15 nouveaux projets vont être soutenus à hauteur de 79 433 €.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Charlotte Goujon, Vice-présidente en charge de la transition écologique, de la santé et de la sécurité sanitaire et industrielle et Yves Soret, Conseiller Métropolitain délégué à l’alimentation et aux circuits courts de proximité : « Changer les habitudes environnementales, ça commence par changer les habitudes alimentaires. Aller vers une consommation locale, durable et saine est à la fois un enjeu écologique, mais aussi social et sanitaire. Notre accompagnement se porte au plus près des actions de nos concitoyens, qui sont les premiers à connaître les besoins et à trouver les solutions. Nous sommes présents à leurs côtés, nous soutenons ces initiatives d’avenir sur notre territoire. C’est bon pour la planète, pour la santé de nos habitants et pour le pouvoir d’achat ! »

La Métropole Rouen Normandie est engagée dans un programme de solidarité internationale. Engagement fort de ce mandat, il comprend quatre volets : le soutien à des projets internationaux d’accès à l’eau et à l’assainissement pour une enveloppe de 60 000€ ; un fonds d’aide d’urgence de 25 000€ à destination des pays en développement dans des cas de situations exceptionnelles ; le Contrat Territorial d’Accueil et d’Intégration des Réfugiés et un appel à projets pour le financement d’opérations de solidarité internationale pour une enveloppe de 40 000€. Pour sa deuxième session, l’appel à projets solidarité internationale récompense 10 associations portant des projets divers dont 3 au Sénégal, 2 au Maroc, 2 à Madagascar, 1 à Haïti, 1 au Togo et 1 au Bénin.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Abdelkrim Marchani, Vice-Président en charge de l'économie, l'attractivité, l'enseignement supérieur et la recherche, la vie étudiante, le numérique - L'Europe et l'international, Nadia Mezrar, Vice-Présidente en charge de l'emploi, des solidarités et de la jeunesse et Myriam Mulot, Vice-Présidente en charge de l’égalité femme/homme, le handicap et les discriminations : « Cet appel à projets vise à accompagner les habitants de la Métropole dans leur engagement au cœur de projets de solidarité internationale. C’était l’un des engagements forts de notre mandat : permettre à toutes et tous, et en particulier des jeunes des QPV, de prendre part à des actions solidaires et sociales, tout en aidant ces actions à voir le jour. C’est concret, c’est utile, et c’est un levier essentiel pour sensibiliser le grand public aux enjeux internationaux. »
 

La Métropole Rouen Normandie engage ce lundi 30 septembre 2024 de nombreuses mesures fortes en faveur de la transition social-écologique. Déploiement d’un ambitieux Plan de mobilité à horizon 2035, financement des études et soutien renouvelé à la Ligne Nouvelle Paris-Normandie, projet d’aménagement d’une plateforme de distribution urbaine à partir du fleuve, ‘gratuité’ des transports en commun certains jours de la Foire Saint-Romain et les 3 week-ends précédant les fêtes de fin d’année… La Métropole a de fortes ambitions en matière de mobilités d’avenir ! Un tout nouveau fonds de 20M d’€, le FACIL Culture, est créé pour soutenir les projets culturels communaux. Un concours de maîtrise d’œuvre est lancé pour l’embellissement et la renaturation du Pont Boieldieu. La Métropole engage par ailleurs des actions de solidarité essentielles : soutien à à l’association Rouen Sotteville Action Locale d'Initiative pour l'Emploi (ROSALIE), pour bâtir un Territoire zéro chômeur de longue durée, engagement aux côtés de SOS Méditerranée… La Métropole déploie enfin près de 2M d’€ pour soutenir des projets structurants portés par les communes du territoire. 

Pour Nicolas MAYER-ROSSIGNOL, Président de la Métropole Rouen Normandie : « La Métropole agit sans relâche pour les mobilités d’avenir et la solidarité. Nous adoptons un Plan de mobilité à horizon 2035, en investissant massivement en faveur des transports en commun, du vélo, du covoiturage et du train… Pour le pouvoir d’achat, pour le climat et pour la santé des habitants. Nos objectifs sont clairs : améliorer les solutions de mobilités et les connexions entre elles, partout sur le territoire. Nous souhaitons plus de ‘gratuité’, et plus de simplicité pour se déplacer. 

Nous continuons de financer les études pour la réalisation de la Ligne Nouvelle Paris-Normandie, et réaffirmons notre entier soutien à ce projet essentiel pour le territoire. Nous engageons par ailleurs le projet d’aménagement d'une plateforme de distribution urbaine au pied du pont Guillaume-le-Conquérant, laquelle réceptionnera des marchandises par bateau, pour permettre de les livrer en ville… en vélo ! Toujours sur le front des mobilités, nous étendons la ‘gratuité’ des transports en commun les mercredis, dimanches et jours fériés lors de la Foire St Romain, et les trois dimanches de décembre précédant les fêtes de fin d’année. C’est un coup de pouce aux forains et aux commerçants, permettant par ailleurs à tous de se déplacer de façon plus écologique. 

Un fonds d’aide aux communes (FACIL Culture) de 20M d’€ est créé, pour soutenir des projets culturels sur le territoire. Les élus locaux, en première ligne du quotidien, seront ainsi soutenus pour réaliser les belles initiatives qui foisonnent dans la métropole. Près de 2M d’€ sont par ailleurs déployés au titre de la solidarité intercommunale : travaux de bâtiments municipaux (écoles, mairies, bibliothèques), caméras de vidéoprotection, installation de panneaux photovoltaïques… C’est utile et c’est concret ! 

Nous lançons un concours de maîtrise d’œuvre pour l’embellissement et la renaturation du Pont Boieldieu. Nous déployons enfin sur le front de la solidarité des mesures fortes : 15 000 € à l’association Rouen Sotteville Action Locale d'Initiative pour l'Emploi (ROSALIE) dans le cadre de l’opération Territoires zéro chômeur de longue durée, et soutien à SOS Méditerranée… La Métropole mobilise ses leviers de solidarité à pleine puissance. 

On se bat, on ne lâche rien. » 

La réunion de lancement du projet de SERM (Service express régional métropolitain) de Rouen s’est tenue ce lundi 30 septembre 2024 en présence de : Jean-Benoît Albertini, préfet de la Région Normandie et du département de la Seine-Maritime, Jean-Baptiste Gastinne, vice-président de la Région Normandie en charge des Mobilités, des Transports et de l’axe Seine, Nicolas Mayer-Rossignol, président de la Métropole Rouen Normandie, Bernard Leroy, président de la communauté d’agglomération Seine-Eure, Anne-Céline Imbaud-de-Trogoff, directrice du développement des transports territoriaux de la Société des grands projets, Vincent Palix, directeur territorial Normandie de SNCF Réseau, et Baptiste Oberlin, directeur régional Normandie de SNCF Gares & Connexions.

Réunis devant les élus du territoire concernés par le projet de SERM et les acteurs de la société civile (associations d’usagers, associations de protection de l’environnement), les membres de l’équipe de préfiguration du projet de SERM ont pu rappeler l’ambition de ce projet en faveur du renforcement des mobilités du quotidien. Ils ont présenté les missions et grands jalons de la phase de préfiguration qui s’inscrit dans la lignée des travaux initiés dès 2016 par le Comité d’Orientation Stratégique des politiques multimodales et ferroviaires métropolitaines.